De retour dans la métropole (libre)

Sören, qui elle était plus petite que tout le monde sortit en ce moment, mais attention faut pas lui dire en pleine face, parce qu’elle n’aime pas ça et risque de vous frapper et résultat vous allez avoir un joli œil au beurre noir, pour vous maquiller le visage, était sortit dehors. Elle se sentait enfermé dans l’Institut, elle avait déjà passé plusieurs années dans un laboratoire, ainsi que quelques mois en prisons, alors elle avait envie de bouger dehors. Elle faisait attention à ne pas se faire bousculer par tout le monde et essayait de rester concentrer sur elle-même pour ne pas péter les plombs à cause des sentiments de tout le monde. Malheureusement pour elle, elle ressentait les émotions d’une coupe de prédateur sexuel et l’un deux était juste à côté d’elle à regarder dans le décolleté des filles qu’il voyait.

-Beurk, pas de chance j’suis à côté d’un gros pervers, murmura-t-elle pour elle-même.

-Qu’est-ce que t’as dit?

-Rien juste que t’était un gros pervers en manque de sexe avec la bisoune bandé. Sinon j’ai rien dit d’autre.

-Quoi!!! Qu’est-ce qui te fait dire ça?

-Tu regarde la poitrine de toutes les filles que tu vois, à être ta mère j’aurais honte de toi et je te renierais.

L’homme était de mauvaise humeur, elle l’avait vraiment insulté là. Elle le sentit et prit ses jambes à son coup, pendant que lui, lui courrait après, en plus elle en avait profité pour le dépouiller de son porte-monnaie et il s’en était rendu compte. Elle tomba dans une ruelle sans issue, elle s,empara d’une barre de fer et se cacha, lorsque l’homme passa à sa porté, elle lui donna un violent coup sur la tête, l’assommant ainsi et elle reprit la poudre d’escampette.Ce n,est qu,après au moins 30 minutes de courses qu,elle s’arrêta à bout de souffle elle était rendu devant l’océan. C’était beau et il y avait un homme, pensif accoté sur la rambarde. Au premier abord il n’avait pas l,air du type à qui on fait confiance et encore moins à celui que l’on veut montré à sa mère entant que gendre. Mais il avait quelque chose de différent en se moment il était en train de repenser à quelque chose qui le rendait triste, peut-être qu’il pouvait être plus gentil que l,on ne pourrait le croire. Elle préféra rester à l’écard pour ne pas le déranger l’observant discrètement par curiosité tout en regardant le soleil.

Elle l'observait toujours sans faire le moindre bruit, le moindre mouvement, comme un animal curieux qui ne voulait pas se faire remarquer par les autres. Elle se demandait ce qu'il pouvait bien te tenir dans la main, elle le lui aurait bien demandé, mais ilsemblait tellement dans ses pensé, qu'elle ne le fit pas et puis il n'aurait sans doute pas aimer répondre à cette question, qui plus ait lorsque c'est une pure inconnue qui la lui pose. Alors aussi bien héviter de la lui poser et ainsi d'héviter des ennuis peut-être. Tout ses sentiments étaient confondues, comme une grosse bouillies, d,une part il voulait oublier, d'une autre se rappeller et il semblait avoir fait des choses dont il n'était pas fière et qui le rongeait de l'intérieur. Pour garnir le tout, elle le sentait lasse, comme si il devait se battre constament et qu'il voudrait jeter l'éponge, mais que quelque chose l,en empêchait. Alors qu'il referma ce qu'il avait dans la main lorsqu,elle sentit que quelque chose d'invisible au yeux de tout le monde, s'attaqua à l'homme, voulant entraîner son esprit, c'était comme si quelque chose voulait prendre le contrôle du corps de celui-ci. La bataille intérieur , semblait rude et difficile, l'être voulait absolument le contrôle et était un redoutable adversaire. Tout semblait être finit, lorsque tout a coup le colosse chauve. Elle fut la seule à voir cette scène, les autres étant trop occupé à faire leur petite affaire sans grand intérêt ou encore à prendre des photos de la Statue de la Liberté, qui ne représentait qu'un peuple qui en avait asservit un autre selon elle. Sans attendre elle se précipita à ses côté.

-Monsieur vous m'entendez?

Il fallait bien une urgence pour qu'elle se sert de la politesse celle-làa. m'enfin, sans plus attendre, elle s'emparra du premier cellulaire qu'elle vit et composa les urgences. le téléphone finit , elle décida de rester proche de l'homme, mais pas trop au cas ou qu'il reprennen connaissance d'un coup sec.

Était toujours là proche de l'homme qui avait perdu connaissance. Les urgences semblaient prendre une éternité à venir., après ça on dira qu'elles arrivent à l,heure mon oeil. L'homme reprit connaissance, elel arqua un sourcil, il l'avait appellé comment??? Nina? C'était qui elle? Sören ne connaissait aucune personne de ce nom, il devait ,Lavoir confondut avec quelqu'un et c'est ça qui arriva. L,homme s'en rendit compte, au moins. Mais elle se garda de faire le moindre commentaire à ce sujet.

-Ça va?

*Pauvre nouille, c'est sur qu'il ne doit pas aller bien, il vient de perdre connaissance, allo, dah!!! On dirait qu'il y a eut un match de lutte greco-romaine dans sa tête.*

Elle se demandait ce qu'il pouvait bien essayer de trouver en regardant la foule de passant, sans doute cette Nina, après tout il ne fallait pas la tête à Papineau pour comprendre ça. En plus du tout, il avait mal partout, ce qui était bizarre puisqu'il avait simplement perdu connaissance, enfin peut-être que c,était juste dans la tête du type et que ça semble tellement réelle, qu'elle le ressent comme si c,était une vraie douleur physique.

-Bah t'as perdu connaissance.

Il semblait être réconforter, d'après ce qu'elle percevait, c'était sans doute bon signe, malgré la douleur qu'il ressentait, même si il n'était pas blessé. Elle vit qu,il avait des difficultés pour se lever et ne se gêna pas de l'aider un peu. Puis il lui posa une nouvelle question., elle lui répondit en se grattant le derrière de la tête.

-Euh non, les bourgeois étaient trop occupé à se regardé le nombril et les touriste eux s,intéressent plus à la Statue de la Liberté qu'a autre chose. J'ai bin faillit en frapper un dans le ventre pour qu'il se rendre compte de ce qui se passait. Et j,crois que j'en ai frapper un pour prendre son cellulaire, mais là ça va mieux et les urgences on dut croire que c'était un blaque.

Elle sentit qu'il n'aimait pas quelque chose, lorsqu'elle lui parla des urgences, ils avaient un point en commun, elle aussi n'aimait pas les urgences. Il avait toujorus un peu de difficulté à rester debout, elle espérait qu'il n'allait pas reperdre connaissance. Par la suite, elle le sentit hésitant, il voulait partir, mais en même temps il ne voulait pas. Il voulait fuir quelque chose à cause de la peur, mais qu,est-ce qui lui faisait peur? C'était une question qu'elle lui aurait bien poser, mais elle ne le fit pas. Elle lui rendit son sourire, par politesse ewt aussi parce que ça faisait un bout qu'on ne lui avait pas sourit et que ça voulait dire aussi qu'elle avait été utile. En plus il la vouvoya, c'éttait bin la prmeière fois que ça ne la dérangeait pas, normalement ça li donnait l'impression d,être plus vieille ou bien que l'on croyait qu'elle était supérieur au autre.

-Enchanté, Elwood, moi j'm'appel Sören, Sören Savaric.

C'était bin l'une des seule fois où qu'elel disait qu'elle était enchanté. Puis on entendit plus loin une voix qui disait que c,était elle qui avait volé son porte-feuille. L'homme qu,elle avait assomé avait dut se réveiller. Mais pour le moment il N'était pas trop loin

hjdr:(Si on arrête le topic sur ça, ça te dis un retour au source et que l,on asse un topic dans le poste de police, comme le premier rpg que l'on a fait ensemble, parce que j,c rois que mon perso va bientôt s,y rendre lol....... Sinon si t'as toujorus des idées on continu)

Elwood hocha la tête. Même si se n'était pas dans ces habitudes, il était comme soulagé de savoir le nom de quelqu'un dans cette ville. Il avait bien sûr des connaissances, mais elles s'arrêtaient à de simple pion qu'il bougeait au gré de ses envies. Mais il sentait quelque chose de différent avec Sören, comme si une part de lui, enfouie depuis si longtemps tentait de remonter à la surface.

Mais même si il se sentait soulagé, il n'y avait pas une minute à perdre. Les secours pouvaient toujours arriver d'un instant à l'autre et Elwood préférait les éviter. Il observa la rue de part et d'autre, tendant l'oreille pour entendre le bruit éventuel d'une sirène au loin. Mais pour le moment, ça avait l'air calme. Enfin, on n'est jamais trop prudent.

Elwood se pencha pour récupérer son sac et le remis sur son épaule. Partir sans laisser de trace ne le dérangeait pas d'habitude, mais une fois de plus, il se sentait coupable d'abandonner ainsi celle qui l'avait aidé. Il hésita un court moment. Avant de mettre un pied en avant.

Et il entendit une voix derrière lui. La voit d'un homme qui accusait quelqu'un d'avoir volé son portefeuille. Il pensa au début que c'était lui qu'on accusait mais finalement, tout retombait sur sa nouvelle amie. Elwood paru hésité. D'un côté, il n'aimait pas se mêler des affaires des autres. D'un autre, elle l'avait aidé et ce n'était plus arriver depuis des années. Il sentait que l'homme se rapprochait... et qu'il était en colère. C'était un peu part sa faute qu'elle avait du assommer quelqu'un. Elwood soupira. Il sentait une colère monter en lui. Pas celle qui le poussait à devenir un monstre. Non, une colère envers l'injustice, envers le monde tel qu'il était devenu, envers l'égoïsme dont les humains faisait preuve, lui y compris. Quelque chose changeait en lui. Mais il ne savait pas quoi en fait.

Elwood se retourna d'un coup, pivotant sur ses jambes et écrasa son poing dans le visage de l'homme. L'homme tomba à la renverse. Elwood se secoua la main avant de se tourner vers Sören. Elle l'avait aidé, maintenant, il était quitte, d'une certaine façon.

- Je crois qu'il faut mieux ne pas moisir ici, ça pourrait devenir malsain !

Elwood se retourna et enchaîna un petit pas de course. La fatigue semblait avoir disparu. Il jeta une dernier regard vers la jeune fille.

- A une prochaine !

Elwood disparu au détour d'une ruelle, comme il en avait l'habitude. Il lui avait rendu la pareille mais il ne se sentait pas encore prêt à jouer les baby-sitters. Mais au plus profond de lui, il sentait que cette rencontre n'allait pas être la dernière

hjdr (OK, on se retrouve au poste )

Elle s'préparait à piquer un bon sprinteen entendant la voix de l'homme dont elle avait soulager de son porte feuille... Mais à sa grande surpsie Elwood, se retourna et frappa l'homme en plein dans le visage, celui-ci sous le choc tomba sur le sol.

-C'est aps une mauvaise idée, dit-elle en regardant la fasse de l'homme qui était a terre.

Le pauvre il avait le nez casser, avec le coup qu'elle lui avait donner tantôt, il devait avoir encore mal à la tête et voilà qu'il avait le nez en morceau c'était pas son jour de chance. Mais ça lui apprendra aussi à l,avoir suivit.

-Chiaw, dit-elle avant de prendre ses jambe à son coup en sentant que la police qui avait été appellé par l'homme allait bientôt arriver.

Et de son bord, elle se demandait si elle allait revoir Elwood, si oui ça allait e^tre quand.

hjdr;(j'm'en vais les faire de ce pas *cours jusque dans la section comissariat de police*)