Qui es-tu ? (libre)

Voila longtemps que Jad était en sans travail. Il ne faisait que errer dans la ville, à la recherche d'un travail qui pouvait l'aider à joindre les deux bouts.
Durant sa promenade, il se rappelait son histoire, ce qu'il vécut depuis si longtemps : l'attaque de son village, sa rencontre avec son père adoptif, ses années où il pleura... car il était seul. Souvent, il lui arrivait de pleurer à nouveau à cause de cela, mais il avait sûrement pleuré toutes les larmes de son corps, car plus rien ne coulait à présent. Les souvenirs, ainsi que la douleur, étaient bien là, mais il ne semblait ne rien rester d'autre.
Il avança jusqu'à un terrain vague, qu'il entre-aperçut brievement. Et là, au mileu de rien, il vut une soudaine silouhette familière. Il s'arrêta et regarda mieux, mais ne vit plus cette forme étrange. Un long frisson parcourut tout son dos. Il hésita à aller voir de plus près, jusqu'à ce qu'il entende dans sa tête un son semblable à un long soupir. Il s'élança rapidement vers le terrain vague, et, au milieu, il regarda partout, cherchant qui pouvait bien avoir fait ce bruit.
Il n'y avait personne. Le terrain était vide, même pas un animal errant. Pourtant, le coeur de Jad palpitait douloureusement, et un sentiment étrange l'envahissait. Il sentait son esprit doucement se brouiller, comme s'il perdait connaissance. Il se tenait debout, au milieu du terrain, attendant un signe de la forme mystèrieuse qu'il avait vu précédement. Tout ce qu'il entendait était ce souffle rauque, résonnant dans sa tête.

Nombre de messages : 20 Date d'inscription : 28/08/2007

Assise derrière de vieux banc et de vielles chaise pour la moitié renversé, Andréa mangeait tranquilement le hot dog qu'elle venait de s'offrire. Elle avait rendue un petit service a un patron de brasserie en lui nettoyant sa cuisine de fond en comble. Avec l'argent qu'elle s'était fait, la jeune femme pouvait se faire de petits plaisirs pour au moins une bonne semaine et demie. Et la premiere chose qu'elle s'était offerte était un appétissant sandwish !

Elle ne voulait pas gaché cet instant et avait choisi de s'isoler, loin de tout le vacarme du centre ville. Un terrain vague était par bonne heure tout près, deserté depuis plsuieurs années, même par les enfants et malgré tout, pas du tout pollué par des ordures et des odeurs immondes, juste quelques meubles deffectueux qui permettaient de bon abris. Avec les mauvaises herbes qui avaient poussé et un peu d'imagination, on pouvait même se croire en pleine campagne !

Alors qu'elle croquait pour la deuxième fois dans son repas en faisant bien attention a ne pas se mettre de la moutarde partout, elle entendit des pas précipité passé près d'elle. Par automatisme, elle se recroquvilla derriere son banc pour ne pas être vue. Reflexe assez stupide. Pourquoi ne voulait elle pas être vu ? Après tout, elle avait le droit d'être ici.

Elle passa donc le bout de son nez dérrière son abris pour apercevoir un jeune homme en plein milieux du terrain. Il semblait un peu perdu, desorienté. Andréa se releva alors avec sa souplesse et sa discretion habituelle et fixa le jeune homme avec une expression perplexe sur le visage, comme si elle attendait que quelque chose se passe.

Jad, paniqué comme jamais, observait chaque coin du terrain, toujours se souffle rauque dans sa tête, qui augmentait au fur et à mesure que le coeur de Jad battait. Il reculait par moment, cherchant cette simple forme, quelque part. Mais il ne voyait rien. Pire encore, il perdait presque le sens de la vue, voyant trouble un peu partout.
Quand le souffle avait atteint un volume cassant presque les oreilles, il s'arrêta soudain. Jad respirait fort, saccadé de quelques déglitissions. Son front était parsemé de goutelettes de sueur, et son coeur battait toujours à un rythme affolant. Il voyait d'un seul coup normalement. Il sentit alors une présence. Par reflexe, il glissa sa main dans sa poche et se tourna vers... une jeune femme. Jad attendit un moment, et regarda en elle : elle n'était pas agressive.
Jad lâcha son arme, puis se laissa tomber par terre, soulagé que ce cauchemar s'arrête. Les genoux contre le sol, la tête vers le ciel, Jad respirait à plein poumon. Avait-il rêvé ? Est-ce que son imagination lui jouait encore des tour ? Il regarda la femme et demanda :

"Vous avez entendu ?"

Il parlait bien sûr du souffle rauque qu'il entendait depuis un moment. Il espérait qu'elle ait entendu comme lui cette respiration terrifiante.

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Voyant qu'il était sur le point de défaillire, Andréa enjamba le banc pour se diriger vers le jeune homme, prudemment. Vu l'état dans lequel il était, la mutante pensa tout de suite que c'était un drogué qui était en manque de sa substance si déliceusement mortelle. Elle s'arrêta donc, net. On ne pouvait jamais savoir a quoi pensait un drogué ni prévoir ses réactions bien souvent dénouées de toute rationnalité. Et si il l'attaquait ? Si il se montrait violent avec elle ? Andréa n'avait pas envie d'avoir une quelconqeu relation avec ce type de personnes. La peur de jamais s'en débarasser, sûrement.

Ce n'est que lorsqu'il tomba à genoux, qu'elle continua son avancé vers lui. Son état quasi de transe avait visiblement prit fin. C'était un effet de la drogue ça ? Elle commença a en douter. Quoi qu'il en soit, la question qu'il lui posa par la suite ne fit qu'accentuer ses doutes.

"Entendre quoi ?" dit elle en se fixant devant lui.

Elle finit par s'accroupire pour mieux l'observer. Transpirant, pâle, il semblait reprendre tout de même sa respiration.

"Dites, vous voulez pas manger ou boire un coup, lui dit elle en lui présentant successivement son hotdog et la petite bouteille d'eau qu'elle venait de sortir à taton de son sac. Je ne sait pas ce qu'il vient de se passer, mais vous m'avez l'air un peu a bout, non ?"

Alors, elle n'avait rien entendu... Cela inquiéta Jad... Devenait-il fou ? Elle lui proposa si gentillement la bouteille, que Jad allait la prendre. Mais il entendit soudainement :

"Tu ne devrais pas..."

Jad recula la main, regarda la jeune fille. D'où venait cette voix ? Il se força à sourire, et répondit :

"Non, merci : ca va aller. Je suis juste un peu à cran, allez savoir pourquoi. C'est la première fois que ça m'arrive."

Il essaya de se lever, mais se jambes ne bougeaient plus. Il était pourtant habitué maintenant, avec sa vie dangereuse, à faire face à sa peur. Mais là, son corps ne voulait plus réagir. Il fit comme si de rien n'était, reprenant doucement son souffle.

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Andréa avança légèrement sa main qui tenait la bouteille d'eau voyant que son interlocuteur allait l'accepter. Mais il n'en fit rien. Il refusa sa proposition, certes poliement, mais elle sentie bien que quelque chose venait de le retenir. Elle mit ça sur le compte de la méfiance. Après tout, il y avait des malades partout. Même si elle doutait que son physique le fasse penser...

"Comme vous voulez..." finit elle pas dire, ne pouvant pas cacher son légé mécontentement qu'il n'ait pas accepter sa proposition.

Elle le fixa a nouveau, ne pouvant réprimer un sourire lorsqu'il lui dit qu'il était a cran.

"A cran ? Vous voulez rire, j'ai bien cru que vous alliez tourner de l'oeil devant moi ! Vous êtes quoi ? Un drogué, un évadé de l'asile, un fugitif... ? Vous sembliez vouloir trouver quelque chose a tout prix..."

Elle finit pas s'assoire en tailleur, son sang ne circulant plus dans ses jambes dans la position accroupie. Elle envelopa son précieux sandwish dans la serviette en papier qu'elle avait eu en prime et le posa a côté d'elle tout comme sa bouteille.

"Qu'est ce que j'aurais du entendre ? Qu'est ce qu'il vous arrive ? C'est quoi ne numéro que vous venez de me faire ?"

Elle n'avait pas pour habitude de poser autant de questions. Mais il fallait bien l'avouer, le comportement étrange de ce jeune homme l'intriguait beaucoup.

Jad sentit qu'elle était légèrement véxé. Pourquoi avait-il réagis ainsi ? Il avait juste entendu cette voix, pourtant inquiétante, qui lui avait dis de ne pas prendre la bouteille, et il ne l'a pas prise. Pourquoi se reflexe ?
Quand elle posa ses premières questions, Jad répondit, avec surprise :

"Ah, non, je ne suis pas tout cela. Je suis juste... eh bien... je pense que je suis normal. Mais bon... j'admets que mon attitude était... plutôt étrange."

Elle s'assit à côté de lui. Il l'écouta poser ses autres questions. Jad hésita à répondre, puis dit finalement :

"J'ai... cru entendre un bruit. Comme une respiration profonde... et quand je suis passé devant ce terrain, j'ai cru voir quelqu'un. Vous n'avez pas vu cette personne, je pense. Et, je sais pas pourquoi, j'ai paniqué : j'entendais cette respiration, mais je ne voyais personne."

Il fit un énorme sourire et dit :

"Ca doit être mon imagination que me joue des tours..."

Mais il savait qu'il avait entendu cette respiration : il avait ressentis également un énorme menace, un grand sentiment négatif le visant lui. Elle était tellement forte qu'il n'avait pas pus la repérer, ou alors, elle était tellement proche qu'il ne pouvait pas savoir où elle était exactement. Il ne sentait toujours pas ses jambes. Il bascula sur le côté pour éviter de se bloquer la circulation.

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Andréa pencha la tête avec une expression très explicite concernant le comportement du jeune hmme qu'il qualifia lui même d'étrange.

*Nan ! Tu crois* Pensa t elle avec une pointe de sarcasme.

Mais enfin, ce n'était pas quelq'un de simplement étrange qui pouvait réellement l'impressionnée. Elle était elle même d'un certain point de vue, étrange, alors elle n'allait pas juger ce jeune homme la dessus.
Il lui exliqua alors qu'il avait crut entendre un son, comme quelqu'un qui respirait profondement et pour ajouter à ça, il avait crut voir quelqu'un sur le terrain vague. Il finit pas lui faire un grand sourire comme pour s'excuser de son atittude en prenant comme excuse que ça devait être son imagination. Comme si cela pouvait tout expliquer.

"Mouais... dit elle toujours aussi perplexe. Elle est sacrément bonne votre imagination pour vous avoir mit dans un tel état..."

Il lui était déjà arrivée de se faire des frayeurs, entendre des pas au détour d'une ruelle, sentir un souffle, tout ça à cause de son imagination. Mais jamais elle n'en était arrivé à la limite de la panique.

"C'est à cause de ça que vous avez refusez ma bouteille ?" Finit elle par lui demander avec un regard amusé.

Jad était encore un peu paniqué, mais tout allait bien à présent. Il continuait à sourire, plus naturellement cette fois. Ses jambes tremblaient encore sous son pantalon large. Il ria à la remarque de la jeune femme, puis ajouta :

"Oui, moi même, j'ai été surpris d'être chamboulé à ce point. Alors c'est vous dire."

Quand elle lui demanda si c'était pour cela qu'il avait refusé sa bouteille, Jad eut honte : il avait pour habitude de ne jamais manqué de respect à quelqu'un qui voulait l'aider. Et il avait manqué à son devoir. Il répondit franchement, au risque de paraître fou :

"Eh bien... Quelque chose m'a dit... Enfin, pour être plus préçis, une voix m'a dis de ne pas la prendre..."

"Et ça t'étonne ?"

Il pivota alors sur lui-même en entendant cette voix. Il regarda par dessus son épaule, puis se tourna vers la femme et dit, avec un grand sourire, comme pour la supplier de répondre :

"Vous... vous avez entendu ça, n'est-ce pas ? Vous l'avez entendu cette fois, ou alors... c'est encore mon... imagination ?"

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"Attendez, ça passe d'un simple son a une voix ?"

Andréa était de plus en plus intriguée par ce que lui décrivait le jeune homme. Entendre des voix ce n'est pas pareille que d'entendre de simples sons. A ce moment là on pouvait accepter encore l'idée que ça pouvait venir de l'imagination, mais des voix... Et des voix qui semblaient un peu paranoïaque puisque dans sa bouteille, il n'y avait rien d'autre que de l'eau et qui était offerte avec un complet désinteressement.

Elle sursauta légèrement lorsqu'il regarda soudainement par dessus son épaule, comme si il venait d'entendre une fois encore quelque chose. Il confirma rapidement les doutes de la jeune femme en lui demandant si elle aussi avait entendu quelque chose. Andréa en conclue que la voix venait de refaire son apparition.

"Ah oui, c'est plus grave que je ne le pensais..."

Il semblait pas se moquer d'elle, ni de feindre ce qu'il semblait entendre.

"Vous avez pas des ancêtres qui avait un problème psychologique par hasard ?"

Entendre des choses que personnes d'autre entend ressemblait un peu a de la schizophrénie, ou des hallucinations, des délires... bref, quelque chose de pas réellement glorieux qui pouvait se retrouver dans la famille.

"Non, oubliez ça..." finit elle par dire.

C'était après tout une question un peu trop personnelle. Elle soupira avant de reprendre.

"Elle vous dit quoi cette voix ? Vous pouvez peut être communiquer avec elle ?"

Jad frissonnait et recommençait à paniquer. Pourtant, il n'avait fait qu'entendre une simple voix. C'état sûrement un farce, ou un canular. Un caméra caché, sans doute. Quand elle lui demanda s'il avait des ancêtres avec des problèmes d'ordre mental, Jad baissa les yeux : il ne se souvenait pas ses parents, ni de ses grands parents. Elle lui demanda ce que la voix disait. Jad dit, doucement :

"Je ne sais pas... j'ai l'impression qu'elle... se rit de moi... Quand je vous ais dis qu'elle m'avait dis de ne pas prendre votre bouteille... elle m'a dit "et ça t'étonne"... "

Jad avait très peur. Plus que jamais, il avait peur de cette voix. Il n'y avait personne autour, aucune présence, ça ne pouvait donc pas être un canular. Soudain, les râles reprirent. Jad dit :

"Ca recommence : ce souffle rauque... Il recommence... Qu'est-ce qui m'arrive ?"

Jad commençait à nouveau à paniquer, plus encore à chaque secondes qu'il entendait ce souffle. Soudain, alors qu'il se tenait les oreilles, comme pour se les boucher, en position du foetus, il entendit :

"Bientôt... Très bientôt, tu te souviendras de moi... Bientôt, tu souffriras comme à l'époque... Bientôt, tu n'existeras plus..."

Et le souffle s'arrêta brusquement, sans aucun signe de présence. Jad resta bloqué en entendant cette dernière phrase. Sa sueur coulait le long de son front, tombant à terre après s'être mis sur son nez.

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Jusqu'ici, la situation lui paraissait plutôt cocasse. Parler avec quelqu'un qui entandait des voix amusait assez Andréa. Et sa curiosité avait été piqué au vif. Ca changeait un peu de ses journées monotones. Mais lorsqu'il commença a se tasser sur lui même pour finir par boucher ses oreilles, Andréa se recula de quelques centimètres.
C'était assez effrayant et inquiétant à voir. Cet homme paraissait de prime abord plutot normale et sein d'esprit. Et de le voir paniquer pour quelque chose qui était complètement invisible, du moins pour Andréa et peut être inexistant était plutôt terrifiant.

Il était fou. Oui, c'était ça. C'était un malade, pas forcément dangereux, qui le deviendrait peut être et c'est pour ça que l'idée de se barrer le plus vite possible de cette endroit effleura Andréa. Elle n'avait jamais aimé se mêler de la vie et des problèmes des autres. Et la plus part du temps, elle fuyait. Mais elle n'avait jamais non plus été confronté à un cas pareil.

Elle regarda autour d'elle comme si elle cherchait un peu d'aide. Quelqu'un, quelque chose qui lui donnerais un petit coup de main a gerer ce qu'elle avait sous les yeux. Mais c'était un terrain vague. Il n'y avait pas le moindre signe de vie a moins d'un kilomètre a la ronde. Et si par bonne heure il y en avait dans ce périmète, il était peut être préférable de ne pas s'y confier.

Son regard se reposa alors sur le jeune homme qui semblait réellement térrifié.

"Ok, on va commençer par se calmer..."

Elle disait ça aussi bien pour lui que pour elle. Elle s'approcha de lui, tout aussi prudement qu'elle l'avait fait il y a quelques minutes lors de leur premier contacte. La mutante lui prit les mains pour l'obliger à la regarder.

"Il y a rien autour de nous, c'est dans votre tête. C'est juste dans votre tête. Vous ne craignez absoluement rien ici..."

Elle lui planta la bouteille d'eau devant le nez.

"Vous allez me faire le plaisir de boire un coup. Quoi que l'on vous dise, vous buvez.... ça veut pas vous faire de mal..."

Ca ne voulait pas lui faire de mal, mais ça n'allait pas non plus lui donner un coup de pouce fulgurant. C'était juste une excuse pour lui permettre de réfléchir a ce qu'elle devait faire.

Jad ne bougeait presque plus. Cette voix effrayante... où l'avait-elle entendu ? C'était aussi effrayant pour lui que pour la fille qui se trouvait à quelques mètres de lui. Il paniquait de plus en plus, les yeux exorbités, la bouche à peine entre-ouverte. Elle commença à lui parler, il leva les yeux vers elle. Elle avait raison : ce n'était qu'une simple voix, il n'avait rien à craindre, malgré ce sentiment qui le faisant tant soufrir. Il respira profondement, puis répondit, la voix légèrement tremblante, ses cheveux habituellement dompté complètement ebourifés :

"Oui, vous avez raison... Je n'ai rien à craindre."

Il respirait le plus profondement et lentement possible, ralentissant son coeur qui battait plus que quand il utilisait son pouvoir. Il prit la bouteille d'un main tremblant et but un longue gorgeait : l'eau fraiche lui brûla sa gorge sèche. Il rendit la bouteille, puis ferma les yeux, se concentra sur autre chose que cette voix qu'il avait entendu.

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